
Comment êtes-vous devenue secouriste PSSM ? Il y a eu deux déclencheurs : le premier l’accompagnement de ma maman dans sa maladie et le deuxième ma certification en préparation mentale, psychologie du sport. Lors d’une visioconférence à laquelle j’ai participé à l’occasion de la journée mondiale de la santé mentale, j’ai découvert que l’on pouvait devenir secouriste en santé mentale. Je me suis donc inscrite à une session de formation et je suis devenue secouriste en octobre 2023.
Êtes-vous formatrice standard et/ou jeunes ? Si vous êtes les 2, avez-vous suivi la formation passerelle ? Je suis formatrice standard depuis moins d’un an. J’ai besoin de bien maîtriser le contenu pédagogique de la formation standard afin de transmettre de façon légitime et professionnelle. La formation standard est déjà très riche.
Qu’est-ce qui vous a convaincue d’être formatrice PSSM ? Transmettre est mon maître mot. Je suis convaincue qu’un jour dans une vie nous sommes tous amenés à aider quelqu’un au niveau personnel et/ou professionnel. J’ai envie que le plus grand nombre de personne ait « les clés » pour y parvenir pour ne plus se sentir impuissant, inutile ou encore culpabiliser face à la souffrance de son ami(e), son père, sa mère, son collègue, son enfant…
Qu’est-ce qui vous plaît le plus lors d’une formation PSSM ?
En tant que formatrice c’est le guide du formateur qui est très bien fait, avec des exercices pertinents, des études de cas réalistes… Le plan d’action AERER est un outil pratique qui fait ses preuves. Le rythme de la formation qui se doit d’être à la fois dynamique et structuré.
Quel réveil pédagogique proposez-vous le 2ème jour de formation ?
J’applique les propositions du guide. A la fin de la 1ere journée j’encourage les participants à faire quelque chose d’agréable pour eux qui soit différent de ce qu’ils font habituellement. Le matin de la 2ème journée je les interroge sur ce qu’ils ont mis en place. Puis j’anime l’activité réveil pédagogique qui consiste à créer deux groupes, chacun des groupes préparent 5 questions sur le cours du jour 1 à poser au groupe en face.
Comment gérez-vous la veille sur votre métier formatrice ?Je suis abonnée à différentes newsletters, bien entendu celle de PSSM mais aussi de Psycom. J’ai hâte de pouvoir participer à la journée des formateurs prévue le 26 novembre prochain.
#interview #Occitanie






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